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herve drevillon
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Mondes en guerre Tome 2 : L'âge classique, XVe-XIXe siècle
Hervé Drévillon
- Passés Composés
- 9791040410645
Explorer la diversité des pratiques guerrières sur tous les continents depuis la préhistoire jusqu'à nos jours, telle est l'ambition des Mondes en guerre. Dès l'Antiquité, la formation d'empires alimenta un vaste processus de confrontations et d'échanges militaires, avant que l'ère des Grandes Découvertes ne déclenche l'intégration de tous les continents dans un espace martial uni?é. Ce second tome est celui de l'Âge classique de la guerre, celui de la raison militaire, où l'essor de l'imprimé contribue à la normalisation des pratiques, sans effacer la dimension religieuse des con?its. Depuis les premières apparitions des arquebuses sur les champs de bataille au XVe siècle, jusqu'au développement d'une puissance militaire industrialisée au XIXe, les conditions de la guerre sont également marquées par l'avènement de la puissance de feu, sur terre comme sur mer. Des guerres civiles aux expéditions coloniales, en passant par la guerre navale, les sièges ou la guérilla, ce sont ainsi toutes les formes d'une guerre mondialisée qui sont ici explorées.
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LCPLes rois absolus (1629-1715)
Hervé Drévillon
- Gallimard
- Histoire de France
- 9782072799259
11 novembre 1630 : à l'issue d'une journée mouvementée, Louis XIII choisit de maintenir sa confiance en Richelieu pour s'engager, à ses côtés, dans une politique dominée par les préceptes de la raison d'État. 1er septembre 1715 : Louis XIV meurt au terme du règne le plus long et le plus brillant de l'histoire de France. D'une date à l'autre, ce siècle fut le temps des rois absolus, qui portèrent à son comble la sacralité du pouvoir monarchique en mobilisant toutes les ressources littéraires et artistiques. Les fastes de la religion royale furent mis au service d'une autorité inouïe. Pour en rendre compte, les contemporains regroupèrent sous le terme générique d'"Extraordinaire" les impôts nouveaux, les tribunaux exceptionnels, les pouvoirs confiés aux intendants, etc.
La guerre, avec son cortège de malheurs et de nécessités impérieuses, fut la manifestation la plus sensible de l'autorité royale. Elle exigea une mobilisation toujours croissante de la société et de l'État, dont elle fut la matrice. Pour la financer, le recours au crédit et à la vente d'offices modifia profondément les structures sociales du royaume. Les élites investirent massivement dans ces charges vénales qui, parfois, les anoblissaient en entretenant la confusion entre dignité sociale et service du Roi. Ainsi débutait la longue histoire d'une relation singulière entre la société française et l'État.25 prêts
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LCPHistoire militaire de la France Tome 1
Hervé Drévillon, Olivier Wieviorka
- Perrin
- 9782262100414
Toute l'histoire militaire de la France des Mérovingiens à 1870.
Pour mieux comprendre la nature des liens unissant les Français à leur armée comme la guerre à l'État, il fallait rendre compte de 1 500 ans d'histoire. Dans sa globalité. Car le fait militaire dépasse les grands cadres d'organisation, le matériel ou les structures de l'armée ainsi que sa composition... Il oblige à penser le rapport au politique ainsi qu'à la société dans son ensemble et incite à revenir sur les engagements, en réfléchissant sur la stratégie et la tactique, en décrivant les grands conflits, en s'attardant, enfin, sur la réalité du combat, l'armement, la violence de guerre et son imposition aux civils.
Ce premier tome s'ouvre avec les Mérovingiens pour se conclure sur la guerre franco-prussienne de 1870.
Plan :
1. Des mérovingiens à 1450 : Xavier Hélary
2. Première modernité, 1450-1650 : Benjamin Deruelle
3. De 1650 à la Révolution : Hervé Drévillon
4. La Révolution : Hervé Drévillon
5. L'Empire : Bernard Gainot
6. L'Empire jusqu'à 1870 : Annie Crépin30 prêts
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LCPPenser et écrire la guerre : contre Clausewitz, 1780-1837
Hervé Drévillon
- Passés Composés
- 9782379339127
Faire l'histoire de la pensée de la guerre de 1780, date de la naissance de Clausewitz, à 1837, année de publication du dernier volume de ses oeuvres complètes par sa veuve, tel est le pari d'Hervé Drévillon dans ce livre remarquable d'intelligence et d'originalité. Car au-delà du parcours du plus célèbre théoricien de la guerre, la période 1780-1837 se caractérise par l'émergence de la théorie militaire comme un véritable champ littéraire. Considéré, à cette époque, comme l'auteur de référence de ce domaine, Antoine de Jomini attaqua la théorie de Clausewitz et sa mise en oeuvre qui s'appuyait sur une « plume facile » mais « parfois un peu vagabonde » et « surtout trop prétentieuse ». L'inconstance de la plume de Clausewitz reposa sur sa conscience aiguë des problématiques de la théorie militaire. Il est donc utile de s'appuyer dessus pour étudier la construction de la pensée militaire par de nombreux auteurs qui pensèrent et écrivirent la guerre. Contrairement à la vision idéaliste de Clausewitz, la plupart se référèrent à la réalité des conflits armés pour tenter d'offrir des principes répondant à des questions essentielles : que faire en guerre et quel est le lien entre guerre et politique ?
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3650 jours
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LCPCroiser du fer ; violence et culture de l'épée dans la France moderne, XVIe-XVIIIe siècle
Pascal Brioist, Hervé Drévillon, Pierre Serna
- Editions Champ Vallon
- EPOQUES
- 9791026702290
Bayard, d'Artagnan, le chevalier d'Éon ; ses figures de bretteurs racontent des histoires différentes, mais néanmoins reliées entre elles par le fil d'une lame. Le chevalier, le duelliste et l'escrimeur sont autant d'archétypes qui révèlent qu'à l'époque moderne, l'épée est une culture que ce livre entreprend d'explorer dans tous ses aspects : du geste de l'escrimeur aux valeurs qui lui sont associées. C'est en effet à partir de la Renaissance que les techniques de l'escrime deviennent un art guidé par des principes savants et moraux. L'analyse des valeurs impliquées dans cet art permet aussi de suivre l'évolution des idéaux de la noblesse qui fait de l'épée le vecteur de son identité.Il ne faudrait, toutefois, pas oublier que l'art de vivre l'épée à la main reste, de part en part, un art de tuer. À une époque où le port d'une arme blanche est une pratique courante, l'escrime civile et civilisée ne saurait occulter les cadavres abandonnés par les innombrables duellistes. C'est pourquoi, l'histoire de l'épée est aussi une histoire de la violence et de l'inaltérable fascination qu'elle exerce. Pour le découvrir, il faut alors plonger dans les archives d'une justice souvent prompte à occulter ce crime qui trouble l'image d'un roi absolument maître de ses sujets. Une autre vision du rapport entre violence et civilisation se dessine de cette façon.S'il est souvent admis que la violence est le contraire de la civilisation, on découvre que l'escrime et ses pratiques meurtrières alimentent une véritable civilisation de la violence, c'est-à-dire une culture, un art, un savoir mis au service de l'homicide. Oublions un instant le roman de cape et d'épée et ses duellistes aimables et bavards pour considérer la brutalité de ceux qui, dans le silence des petits matins, règlent leur compte l'arme à la main. L'époque moderne se révèle alors sous un autre jour, grâce à l'archéologie du geste de l'escrimeur, restitué dans toute sa technicité, dans toute sa férocité. C'est ainsi que l'épée peut faire l'objet d'une véritable histoire totale, attentive aux objets, aux gestes, aux pratiques sociales et aux courants intellectuels de la Renaissance aux Lumières.
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