Il a fallu attendre la deuxième moitié du XXe siècle pour que, dans la totalité des pays réputés avancés, la femme soit socialement reconnue comme un être humain à part entière. On éprouva même le besoin, il n'y a pas 20 ans, de créer en France un ministère pour elle, tant il apparut que cette reconnaissance n'allait pas de soi. Pourtant, surtout après la Seconde Guerre mondiale, les femmes sont entrées en masse sinon en force sur le marché du travail. Puis la pilule leur a donné la maîtrise de la maternité, tandis qu'une propagande féministe bien orchestrée les hissait sur le podium. La femme est ainsi devenue, théoriquement, l'égale de l'homme. Cependant, elle n'est là qu'en filigrane et sa personne, en réalité, n'occupe qu'un strapontin. Résistance sourde, mais ferme, des sociétés machistes où les leviers de commande, qu'ils soient politiques, économiques, syndicaux ou universitaires, sont dans la main des hommes. C'est finalement le volontarisme qui, à la force du poignet, dévoile l'évidence : la femme est un être digne et responsable. Mais le volontarisme peut-il changer les comportements fondamentaux ? Peut-il vraiment transformer la sexualité ? Tout ou presque, dans notre vie, passe par ce filtre biologique. Dès lors, l'homme et la femme apparaissent comme essentiellement complémentaires donc, ipso facto, différents. Le reconnaître permet de donner à l'un et à l'autre une place correspondant, sans jugements de valeurs ni vanités, à leurs différences. Car ce sont elles, ces différences complémentaires, qui fondent la féminité et la masculinité, c'est-à-dire le dialogue sexuel. Vouloir les réduire ou les opposer n'a pas de sens : nous sommes comme la serrure et la clé.
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Ce livre s'adresse à tous ceux qui ne peuvent accepter leur propre mort, ni la mort des êtres qu'ils aiment. Point de philosophie dans ces pages, de systèmes se déroulant sur le seul plan de l'esprit, mais la chair et le sang d'une expérience quotidienne. Dès les premières lignes, nous savons que nous sommes au coeur même d'un problème qui nous concerne tous, bien que nous nous efforcions de l'oublier à chaque heure du jour. Un être, sommé d'avoir à sortir de l'impasse du doute, s'engage devant nous sans réserve. Avec une lucidité à la fois rigoureuse et passionnée, Maria Le Hardouin confronte les aspirations de son coeur avec les exigences de sa raison. C'est bien d'une tentative de parvenir à une image de Dieu qui puisse satisfaire une conscience contemporaine qu'il s'agit, et cela, de la part d'un être qui ne peut rien recevoir pour vrai qu'il ne l'ait repensé, revécu par lui-même. Aussi, le combat qui se poursuit devant nous, ne cesse de s'amplifier avec une intensité dramatique.
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Jusqu'à ce jour, on ignorait tout du jeune officier qui fut « le grand amour de Joséphine ». Que de chercheurs obstinés ont, des heures durant, feuilleté les registres et fouillé les liasses de documents conservés aux Archives du ministère de la Guerre, sans parvenir à dénicher ce nom d'Hippolyte Charles, qui semblait n'être qu'un prénom ! Vraisemblablement, le dossier individuel de cet officier a été subtilisé au ministère, sans doute sous le Second Empire. Un curieux passionné, spécialiste de ces recherches difficiles et délicates, Louis Hastier, est arrivé à découvrir la trace de Charles dans le Registre des congés et des démissions des officiers de cavalerie, ce qui le mit sur la piste d'autres documents fort importants. Non seulement, aujourd'hui, on n'ignore plus rien du personnage, mais on sait avec certitude la nature des relations qui ont existé entre lui et Joséphine. Cinq billets inédits de celle-ci, mettent en évidence ses sentiments envers son amant, et aussi envers les Bonaparte, « Ces monstres qui ont toute sa haine ». Ainsi, plus d'un siècle et demi aura dû s'écouler, avant que l'on soit exactement renseigné sur l'identité et sur le rôle d'Hippolyte Charles qui, pour certains, était un mythe, une légende.
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Cet essai, qui se signale par une extraordinaire richesse de pensée, traite d'abord de l'évolution de la condition féminine et de la condition masculine, de l'Antiquité à nos jours. L'auteur insiste ensuite sur les risques variés qui manifestent, à ses yeux, l'apparition d'un nouveau matriarcat, caractérisé par une certaine dévalorisation du mâle (disqualification de la guerre, des castes militaires, du patriotisme, réduction du rôle du père à celui d'une mère auxiliaire, féminisation de l'intellectuel, etc.), ainsi que par la libération de la femme, et par la prépondérance prise par la mère dans la société contemporaine. Pour traiter ce grand sujet, si actuel, l'auteur évite constamment l'obscurité et l'abstraction. Son livre - audacieux et dynamique, prophétique parfois - excite l'esprit et lui fournit cent sujets de réflexion personnelle.
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« Les enragées de Cornebourg » est le premier véritable roman de Roger Rabiniaux. On y trouvera en effet une intrigue suivie, une histoire complète. Et quelle histoire ! À Cornebourg, gros bourg peuplé de commerçants, de paysans, de retraités, éclate soudain la guerre des sexes. C'est une Vénus cantonale, terriblement attachée à sa proie, Améla Jambechiche, qui est à l'origine de ce conflit. Les Cornebourgeoises voulant châtier cette sirène - coupable d'avoir éloigné de leur devoir de nombreux mâles respectables - s'acharnent sur son mari, le pauvre Léon Jambechiche, qu'elles laissent pantelant au seuil de son auberge après l'avoir roué de coups. Jambechiche va se défendre. Les Cornebourgeoises seront condamnées et prendront leur revanche au cours d'une guerre intestine, qui va voir successivement les hommes épuisés sous les caresses, avant d'être privés d'amour et abandonnés dans leur maison sans femme. Un jour, enfin, les « Justicières » conquerront le Conseil municipal, la Mairie et feront peser sur les hommes une insupportable dictature. Comme on voit, Cornebourg, la France, et le monde sont bien mal partis. Heureusement, Señor Bacchus, sorte de Pantagruel up to date, mâtiné de Don Juan, surgira à temps pour redresser la situation ; il y sera puissamment aidé par le déchaînement de fureur érotique, que connaîtront Cornebourg et Crouzeval à la suite d'une sournoise vengeance de Jambechiche. Telle est l'histoire, hautement morale, des « Enragées de Cornebourg ». S'agit-il d'un roman paysan, d'un pamphlet antiféministe, d'une chronique romancée ? Sans doute d'un peu tout cela, mais il s'agit surtout d'un livre écrit avec une verve entraînante, et où le burlesque n'est jamais très éloigné du lyrisme, d'un livre rempli de trouvailles charmantes ou pittoresques, et d'une véritable ivresse verbale.
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La vie et la mort d'une communauté juive de Transylvanie, tel est le sujet de ce roman. Alba est une localité disputée entre la Hongrie et la Roumanie, l'Allemagne et la Russie. L'auteur nous présente d'abord le cocher, Anselme Losch, qui va chercher à la gare ceux qui reviennent d'Europe, puis les divers membres de la communauté animée par le Rabbin : le boucher, le meunier, etc., en même temps qu'il nous introduit dans une vie extraordinaire, où réalisme et spiritualité sont inextricablement, pittoresquement, et authentiquement mêlés. Mais la guerre bouleverse la vie de ces Juifs. On nous montre leur lutte - ou leur acceptation - la vie misérable à laquelle ils sont réduits, la dislocation intérieure, qui fait se dresser les uns contre les autres des gens jusqu'alors unis ; tout s'en mêle : les débordements sexuels, la déportation, la lutte pour l'amour, la révolte contre le Dieu de Colère. Persécutés par les Roumains, assiégés par les S.S., les survivants mettent leur espoir dans les Russes qui approchent. Ils sortent de leurs abris pour les acclamer, mais les énormes chars leur passent dessus. Seul le cocher Anselme Losch échappe à la mort pour raconter ces événements apocalyptiques. Ce récit, d'une extraordinaire puissance, a l'éclat saisissant de l'authenticité. On croit assister à quelque épisode de l'histoire biblique et cette impression est renforcée par le ton, par le style à la fois précis et concret de l'Ancien Testament, ton et style qui tranchent sur tout ce qui a paru ces dernières années, ton et style qui révèlent un incontestable et rare écrivain.
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« Il y a, dans son style, de la chaleur, des images neuves et vigoureuses, un accent hardi, des frissons, une amertume sincère, et l'abandon sous le soleil... Christian Ducomte n'a pas les mains vides. Nous avons le droit d'espérer », écrivait Kléber Haedens, à propos des « Assassins », le premier roman de l'auteur. Avec « Le sang de ce juste », nous retrouvons le même ton, nerveux et cruel, plus ferme et dépouillé peut-être, et la même plongée jusqu'au coeur de l'inquiétude contemporaine. Face à face : Laurent, jeune intellectuel de gauche renié par ses camarades, et son beau-frère Frank, prétorien du régime. Chassé du Parti pour désaccord idéologique, Laurent a pu se faire admettre, en cachant son identité, dans une bande de partisans communistes. Le drame va se nouer et éclater brutalement, en moins de vingt-quatre heures, implacable machine déclenchée d'un simple mouvement du pouce. Laurent tombe vivant aux mains des miliciens. Tiraillé entre sa haine politique, la passion qu'il éprouve pour sa soeur Christine, et son amour des situations grandiloquentes, Frank va pourtant tenter de sauver son beau-frère. Pendant ce temps, au camp des partisans, les chefs discutent interminablement pour savoir s'ils iront au secours de leur camarade, dont ils viennent d'apprendre la véritable identité. Finalement Laurent mourra, victime expiatoire de tous les fanatismes, rejeté de partout à la fois, coupable de n'avoir pu choisir... Il y a l'obsédante présence de la forêt, jetée comme un manteau sur le corps des collines, cernant le camp et les villages, et gorgée de sa vie printanière. Avec « Le sang de ce juste », Christian Ducomte justifie brillamment les espoirs que la critique avait placés en lui.
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Ce roman, le premier d'un jeune auteur, nous apporte beaucoup plus que des promesses. Le lecteur chargé du rapport concluait par ces mots : « le ton fait toute la valeur du récit ; il me semble extraordinaire ; c'est le ton cinglant et amer qu'on imaginerait à Rimbaud après la Saison en Enfer ». L'histoire de Simon, qui se laisse entretenir par une prostituée, qui étrangle une maîtresse d'âge mûr, puis qui s'engage comme parachutiste au Maroc et qui, au contact d'une petite Berbère, retrouve une éblouissante pureté, pureté qui le forcera - encore une fois - à donner la mort avant de se tuer lui-même, ne peut se résumer. Elle est, comme on le devine, pleine d'action, très proche du roman d'aventures de notre temps, mais elle s'en distingue par le style, par le souffle, par la poésie. Cette pureté, que Simon saura conserver à travers les pires turpitudes, ce farouche besoin d'exister qui l'habite, font de lui un hallucinant personnage, que l'on ne peut comparer à aucun héros de roman - présent ou passé - et qui, pourtant, est d'une vérité bouleversante.
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Un homme aime sa femme sans pouvoir néanmoins renoncer aux autres femmes. À travers de multiples aventures, ce qu'il découvre, peu à peu, dépasse largement le problème de la fidélité, voire du domaine des rapports amoureux : il ne s'agit pas de profiter d'autrui mais de le reconnaître. Le premier roman de Caplain, Le Conquérant, qui avait fait beaucoup de bruit il y a trois ans, était le roman du couple impossible. L'homme marié veut montrer comment le couple est possible, et quelles sont les conditions de sa création.
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Ce n'est pas impunément qu'un petit provincial naïf, qui étouffe chez lui, découvre un jour, à 14 ans, les odeurs et la vie foisonnante de la campagne, et, par l'intermédiaire d'un maître trop aimé, l'abîme qui sépare le monde des rêves du monde tout court. Il peut se faire qu'on en meure. C'est ce qui arrive au jeune Alain, dans ce premier roman d'un auteur de 28 ans qui fut musicien avant d'être romancier, et qui l'est resté. Alain ne demande qu'à s'émerveiller, M. de Soussarin, châtelain du pays, s'enivre de son pouvoir sur cette âme neuve, et ne résiste pas au plaisir d'en jouer. Travaillé en secret par la puberté, incapable d'intégrer à ses rêves le monde de la sexualité brutalement découvert, l'enfant voit dans la mort une purification et le plus haut accomplissement de lui-même. Son suicide est un geste parfait dont M. de Soussarin comprend la grandeur désespérée. Ce roman longuement mûri est avant tout l'oeuvre d'un poète qui sait tenir son lecteur sous le charme, et le conduire, d'une main miraculeusement légère, jusqu'aux frontières de la vie et de la mort.
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Tous ceux, toutes celles, qui ont lu "Connaissance sensuelle de la Femme", du docteur Noël Lamare, attendent avec impatience cette parution. Le présent ouvrage comprend quatre chapitres : Le premier expose la physiologie de l'homme ; Le deuxième est consacré à la puissance sexuelle ; Le troisième à l'étude de la forme la plus habituelle de l'impuissance ; Le dernier, enfin, traite des perversions. C'est évidemment le troisième chapitre qui constitue l'essentiel de cet ouvrage.
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L'homme et la femme ne se sont jamais aussi mal compris. Ils ne se sont jamais autant méprisé, autant méconnu. Cependant, les moyens ne manquent pas qui sont propres à rétablir l'équilibre entre les deux sexes en conciliant des différences qui, encore une fois, ne sont nullement incompatibles, mais complémentaires.
L'amour sexuel - La morale et la spiritualité - Régulation de la natalité et plaisir amoureux - Troubles de la fonction érotique - Frigidité - Homosexualité - tels sont les grands sujets que Noël LAMARE aborde dans ce nouvel ouvrage avec autant de compétence que de franchise.
Il aidera les femmes à résoudre des problèmes qui pouvaient leur paraître insolubles ; il aidera également les hommes à mieux comprendre leur compagne et à accéder avec elle à l'équilibre et au bonheur.
Noël LAMARE, né à Sauternes le 25 décembre 1924, ancien externe, lauréat des hôpitaux de Bordeaux, a déjà publié aux Editions Buchet/Chastel les ouvrages suivants : « Connaissance Sensuelle de la Femme » et « Connaissance Sensuelle de l'Homme » qui sont des classiques du genre.
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« Je l'apprenais dans son sommeil... » Mais Dror, personnage attirant et insaisissable, se dérobe chaque fois que Josy croit l'atteindre.
Si l'héroïne de « L'âme se porte noire » était froidement lucide, celle de Dror apparaît tourmentée et passionnée dans le moindre de ses actes.
L'amour consolateur, et trop indulgent, de François, saura-t-il s'opposer à l'attirance physique et à l'empire que Dror exerce sur Josy ?
Entier mais faible, Josy, ce nouveau personnage de Colette Geslin, laissera la vie prendre pour elle la décision finale...
Dans ce second roman, écrit un an après « L'âme se porte noire », l'auteur nous montre, à vingt et un ans, un autre aspect de son écriture, plus sensible et passionné, et une étonnante maturité.
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Ce roman s'étale sur une durée d'un mois, le temps d'un voyage en Espagne. Rachel a accepté d'accompagner Vincent, qui fut son amant, à la condition que ce dernier emmène un jeune garçon, Kaï. Bientôt, cependant, la présence de cet adolescent cesse d'être une protection pour devenir une gêne. Rachel et Vincent observent Kaï, et l'enfant, fasciné par ce couple étrange, l'empêche de se reformer. L'auteur crée, par petites touches, une atmosphère envoûtante. L'oeuvre, à la fois profonde et subtile, est d'une qualité très rare.
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Comme l'auteur lui-même en fait la remarque dans ce volume de souvenirs, il y avait moins de différence entre certains bourgeois des petites villes de province - où il vivait dans son jeune temps - et les sujets du roi Charles X, qu'entre ces derniers et un Parisien de 1961. « Ses temps », selon son expression, ont donc été fort divers, bien que tous colorés et mouvementés, il les survole, les rapproche, les confronte.
« Curieux d'âmes, d'esprits originaux, d'idées neuves, de papiers succulents », il ne peut découvrir un homme, ou un fait, sans tenter de lui arracher son secret.
Ces mémoires, que l'on a pu nommer Les « Confessions » du XXe siècle, sont ceux d'un écrivain imbibé d'Histoire, de cette histoire grâce à laquelle les événements d'aujourd'hui prennent tout leur sens. Ce sont aussi ceux d'un Français, qui peut écrire sans aucune forfanterie : « Je sais que, par le monde, des centaines de millions d'hommes aiment les Français comme moi. » Ils sont émaillés d'anecdotes savoureuses, contées avec un humour qui ne doit rien aux Anglo-Saxons.
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Né en 1937 près de la porte de Vanves, Daniel APRUZ a passé son enfance sur la zone aujourd'hui disparue. Il est marié et père de trois enfants. La parution des deux premiers romans d'Apruz, LA BALEINE et LA BELAMOUR, avait été très remarquée. Outre l'accueil enthousiaste de la critique, LA BALEINE avait obtenu deux voix au prix Goncourt._x000D_
Un jour Célestin a perdu Tergaline..._x000D_
Tout le livre est le récit de leurs pérégrinations dans une ville sans fin, peu à peu envahie par des icebergs de béton qui envoient par le fond les vieilles maisons chargées de passé comme des galions d'or... C'est le grand naufrage. Les personnages à la dérive évoluent dans un monde en train de craquer comme une couche de glace à la débâcle. Pour garder l'équilibre ils font des gestes de fous et poussent des cris désespérés. Et les voilà emportés dans des aventures qui se télescopent, se brisent, s'emmêlent, dans le fracas des bulldozers, des murs qui s'écroulent, dans la grande panique des idées descendues en vol comme des canards sauvages..._x000D_
Pris dans le tourbillon, ils essaient tant bien que mal de garer leurs os, ils participent comme dans un songe brutal et forcené à des aventures sordides, lyriques et pitoyables, rencontrent tour à tour les mêmes personnages qui semblent sortir du Moyen Age et qui tournent en rond.
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Voici le produit humoristique de près de dix années d'écoutes. Les grands de ce monde, les speakers et présentateurs de la Radio-Télévision ne sont pas sans faiblesses de langage : « cuirs », lapalissades, contre-petteries involontaires, etc...
L'auteur les a rassemblés en un volume qui ne manquera pas de faire rire même ses victimes. C'est une véritable « Foire aux Cancres » des ondes.
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