Une "new romance" qui rend hommage aux mangas sentimentaux coréens, reprenant fidèlement ses codes et mettant ainsi à l'honneur par l'écrit une culture et un univers qu'on ne connaît que par le manga. Le première fiction de ce genre, totalement singulière par sa démarche.
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En 1920, les fantômes de la guerre s'estompent et Paris renoue avec les plaisirs. La liberté prend une allure de fête à laquelle Judith Fontange, en quittant sa trop sage province, a décidé de participer. Emportée dans le tourbillon des années folles, elle choisit le luxe et affiche son originalité en créant des bijoux de rêve. Parviendra-t-elle à s'imposer dans le monde magique et mystérieux des pierres précieuses ? D'Anvers, capitale du diamant, à l'Égypte où Howard Carter découvre le trésor de Toutânkhamon, elle poursuivra, accompagnée d'hommes auprès desquels elle cherchera l'amour, une quête tumultueuse, qui transformera la petite fille éblouie de ses débuts, en une femme conquérante et passionnée.
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Jour néfaste, que celui où doña Encarnación, comtesse de Villaferda, son fils don Rainaldo et sa toute jeune épouse doña Enriqueta sont venus s'installer dans la maison des Belles Colonnes ! Des cousins de ces nobles Espagnols, les Fauveclare, habitent la demeure mitoyenne : Melchior, qui est veuf, ses deux enfants Aubert et Isabelle, ainsi que la douce Anne, sa soeur. Une grave discorde sépare depuis toujours les deux familles. Elle s'intensifie, lorsque l'âme damnée de doña Encarnaciôn, l'intrigante Claudia de Winfeld, que l'on a surnommée « la louve dévorante », jette son dévolu sur le faible Melchior... Des drames vont éclater dans cette atmosphère empoisonnée... Quel sera le sort de la fragile Enriqueta, qui tremble et se révolte sous la férule d'une belle-mère au coeur sec ? Peut-elle espérer un secours de Rainaldo, son mari qui la délaisse ?
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« Je serai toujours une Walberg ! a lancé Odile à son mari, au cours d'une scène plus violente que les autres. Je n'appartiendrai jamais à votre bourgeoisie que j'exècre. Je n'aurais jamais accepté cette mésalliance si mon père ne m'y avait contrainte... » Serge Harbreuze, possesseur d'une immense fortune acquise dans l'industrie, a surpris son entourage en épousant la jeune et très belle comtesse Odile de Walberg. Il paraît épris. Le couple, pourtant n'est pas heureux... Serge est fier de sa réussite. Il en est même orgueilleux et supporte difficilement les allusions de sa femme à la noblesse de ses origines. Quelle est donc cette « contrainte » qu'elle évoque ? Avait-elle un autre amour qui lui emplirait encore le coeur ? La venue de son frère, le comte Rudolph de Walberg, soulève un coin du voile... Après une dernière dispute, Odile quitte le toit conjugal. Est-ce la séparation définitive ?
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Accablée par la chaleur du Sud marocain, Élisabeth Lissa est anxieuse de devoir travailler à nouveau avec son ancien compagnon, Bob, cinéaste célèbre. D'autant, qu'elle doit aussi veiller à l'édification des décors du film et faire face à bien des conflits et des doutes... Qui est ce curieux petit bonhomme, passionné de cinéma, qu'elle croise systématiquement sur sa route ? Quel est ce personnage, aux yeux noirs si troublants, et qui prend, chaque jour, un peu plus de place dans sa vie ? Pourquoi les deux acteurs principaux semblent-ils tant se détester ? Et quel mystère recèle donc cet ancien palais qui l'attire si irrésistiblement ?
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Alors qu'il pleure encore sa première épouse, Reynald est contraint de se remarier avec Lydia, la fille de son ennemi. C'est le prix à payer pour sauver sa famille de la ruine totale. Lydia en aimait un autre, mais la volonté paternelle est un ordre, elle n'a pas le choix... Mariage de raison, mariage sans amour... Sept mois plus tard, naît une petite fille. Reynald se rend à l'évidence : il n'est pas le père de cette enfant ! Et soudain, le drame : la petite Diana est enlevée ! Lydia supplie son mari de l'aider à retrouver sa fille, son unique raison de vivre. Devant le désarroi et l'angoisse de sa femme, il cède. Le couple suit la piste des ravisseurs à Paris. Alors, dans l'adversité, ils se découvrent et, chaque jour, se lient davantage. L'indifférence va-t-elle faire place à l'amour ?
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«... Au milieu de toute cette agitation de plateau, Rebecca restait calme. Elle était pourtant intégralement nue, prête à affronter la caméra. Nathan est venu vers nous, affairé. Il ne la connaissait pas encore. Elle avait été convoquée par le directeur de casting. Lepage s'est arrêté net. Et déjà, les mots étaient inutiles. Rebecca s'offrait dans une terrible vérité, comme détachée. D'un bout à l'autre du plateau, on sentait que quelque chose se passait. Nathan a fait un pas en arrière, comme s'il voulait s'arracher à elle. Rebecca s'est dirigée vers la caméra. Elle s'est retournée vers Nathan. Simplement retournée. Tout était dit entre eux. Les grandes passions, il y a un moment où l'on croit les voir démarrer, mais on se trompe. Sauf là, car je peux dire que j'ai vu Lepage tomber amoureux, et que cela s'est passé ainsi sur le plateau »....
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Pour la légende comme pour l'histoire, Madame Tallien reste Notre-Dame-de-Thermidor. Épouse de Tallien, l'un des révolutionnaires les plus durs, sinon les plus sanglants, cette femme, qui va incarner aux yeux des Parisiens soulagés la fin de la Terreur et le début du Directoire, a été bien autre chose que ce symbole de la chute de Robespierre et du féroce Fouquier-Tinville.
Venue d'Espagne en France, dans les dernières années de la monarchie, Theresa de Cabarrus épouse le marquis de Fontenay, avant d'être entraînée dans la tourmente de la Révolution, d'où elle sortira - pour sa plus grande gloire - après avoir connu les jours les plus sombres.
Elle connaît ensuite tous les fastes du Directoire, dont elle est la reine, devient l'amie de Joséphine de Beauharnais, protège le jeune Bonaparte, subit la disgrâce de Napoléon, finit princesse de Caraman-Chimay. Et, tout au long de son existence ardente et passionnée, se profile l'ombre du seul homme qu'elle ait peut-être jamais aimé, le prince Nicolas Esterhazy.
Avec son sens du romanesque, Anne-Mariel fait revivre sous nos yeux cette femme, dont la vie a été un véritable roman. Par sa beauté et son charme, elle a su enchaîner Tallien, alors qu'il faisait régner sa terreur sur Bordeaux, puis le pousser à se dresser contre Robespierre et sa tyrannie, alors que - déjà - se dressait devant elle l'échafaud.
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Une île de terre rouge, surplombée d'un volcan, au milieu de l'océan. Vu du ciel, c'est le paradis. Pour l'équipe de cinéma venue y tourner un remake des célèbres Chasses du comte Zaroff, c'est plutôt l'enfer. Il y a d'abord la chaleur, l'humidité, la jungle où les insectes pullulent. Puis les indigènes, beaux comme des pharaons qui, sous les ordres de Fête-Dieu L'Kundé - qui a lu Hegel grâce aux jésuites mais sacrifie des chèvres à ses divinités -, complotent de chasser les colons de leur terre. Faustine, la scénariste du film, pressent le drame. Prise en otage avec ses compagnons par les révolutionnaires de Fête-Dieu L'Kundé, elle sera libérée par des forces occidentales extérieures à l'île, mais ne désirera rien tant que de rejoindre son geôlier, pour lequel elle éprouve un amour proche de l'adoration. Ils s'aimeront dans un climat de fin du monde, dans l'île témoin de leur passion. L'île qui, tel un être vivant, et comme animée d'une fureur mauvaise, s'apprête à précipiter dans l'abîme tous ceux qui se sont aventurés sur son sol. Une parabole baroque, à l'image de l'île fascinante, Éden et enfer, dont Sylvie Dervin fait le personnage central de ce roman qui offre au lecteur subjugué la plus extraordinaire adaptation des Chasses du comte Zaroff qui se puisse concevoir.
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En débarquant à la Réunion, Lysiane découvre, stupéfaite, l'homme qu'elle a épousé par procuration. Avec sa haute taille, sa chevelure brune et ses yeux gris comme un ciel d'orage, Rohan Beauclerc est un véritable Adonis ! Mais il ne manifeste pas le moindre intérêt pour sa jeune épouse. Son front buté, ses lèvres pincées et ses épaules raidies dénotent même une extrême contrariété. Et pour cause... Lysiane ne tarde pas à découvrir que Rohan n'a consenti à ce mariage que contraint et forcé, dans le seul but d'étouffer un scandale. Car la passion qu'il éprouve pour la femme d'un riche planteur alimente les ragots sur l'île. De son côté, la belle Solange Escrebieux ne se montre guère disposée à partager son amant. Aucune humiliation ne sera épargnée à la nouvelle venue. Jusqu'au jour où Lysiane, exaspérée, s'enfuit du domicile conjugal. Sans se soucier de l'ouragan qui se déchaîne...
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C'est au moment même où se déclare à Paris la célèbre « affaire des poisons » que la petite ville de Montmorillon est secouée par une affaire d'empoisonnement à la Maison-Dieu. L'auteur, à la fois historien, enquêteur et chroniqueur judiciaire, va nous raconter une histoire, certes truculente et pittoresque, mais dont les détails sont le fruit d'une recherche scientifique rigoureuse. Voici un étonnant récit qui nous plonge dans la France d'Ancien Régime où l'empoisonnement, à l'arsenic notamment, nourrit toutes les craintes, les angoisses et les phantasmes.
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Tristan et Louise ont bravé tous leurs démons pour réussir à vivre leur amour. L'année qui arrive s'annonce sous les meilleurs hospices pour nos deux amoureux : mariage, bébé, une vie de famille parfaite.
Et si leur vie idyllique était remise en question ?
Et si leurs vieux démons s'invitaient à la noce ?
Seront-ils toujours assez fort pour revenir l'un vers l'autre ?
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